
Dans la vie, si l’on veut atteindre de grandes choses, ses objectifs, convaincre, se convaincre soi-même qu’il est possible de faire de grandes choses, il n’y a qu’un seul moyen : faire au mieux, avec ses possibilités.
Dans la vie, si l’on veut atteindre de grandes choses, ses objectifs, convaincre, se convaincre soi-même qu’il est possible de faire de grandes choses, il n’y a qu’un seul moyen : faire au mieux, avec ses possibilités.
Depuis tout petit, depuis la naissance, toute la vie n’est qu’un processus d’accélération progressive, puis de lente désaccélération. Tout n’est que croissance, maturation – jusqu’au sommet de l' »être », au paroxysme de l’existence, atteint parfois de manière extatique (l’orgasme) – avant de connaître un lent processus de retour à la terre, au chaud, puis au froid, parfois en passant par différents états intermédiaires encore.
Le film « Un si long silence » diffusé mercredi 4 mai sur la RTS et consacré aux viols à répétition subis par l’ex-patineuse artistique Sarah Abitbol au cours de son adolescence par son entraîneur de l’époque, Gilles Beyer, dévoile une réalité extrêmement crue – une des faces les plus sombres du sport. Point de départ d’une réflexion que nous désirons initier sur le rôle des désirs, des envies, des pulsions, des rêves et plus globalement du cadre propice à l’éclosion des jeunes talents dans le sport – et au-delà.
Alors que les recommandations en matière de santé, d’un mode de vie sain et équilibré fleurissent (c’est la même rengaine chaque année : faites du sport, nourrissez-vous sainement, etc.), quantité de gens – et même une somme impressionnante de personnes – n’arrivent pas à appliquer ces simples préceptes.
Quand la juge Sim débarque dans le paisible Tribunal pour mineurs de Yeonhwa, en Corée du Sud, les […]
Pour réussir à se dépasser, à obtenir ce que l’on veut de son corps et de son esprit, pour faire de la performance, aller au bout de ses possibilités, il ne suffit pas d’être prêt à faire son possible. Il faut encore le pouvoir…
Celui qui a la santé peut aller où il veut, faire ce qu’il veut, comme il veut. C’est quand même vrai : du moment que notre corps et notre esprit fonctionnent de concert, tout est possible. Tout revêt un aspect nouveau, léger, subtil… Nous nous élevons au-dessus de notre état – et de l’état du monde.
Pour qui s’occupe un peu de promotion de la relève, comme PSUCHE le fait depuis maintenant quatre ans, une chose est on ne peut plus claire : plus on s’y intéresse, plus on passe de temps sur internet, à chercher des informations et essayer de comprendre ce qui se passe dans le domaine, moins on y comprend quelque chose !