PSUCHE est allé hier soir écouter la célèbre soliste Hilary Hahn au Casino de Berne pour un concert avec l’orchestre philharmonique « Filarmonica joven de Colombia »pour près de deux heures consacrées à une pièce du (jeune) orchestre, le concerto pour violon et orchestre en mi mineur op. 64 de Mendelssohn et la symphonie n°5 en ré mineur op. 47 de Chostakovitch.

Depuis tout petit, depuis la naissance, toute la vie n’est qu’un processus d’accélération progressive, puis de lente désaccélération. Tout n’est que croissance, maturation – jusqu’au sommet de l' »être », au paroxysme de l’existence, atteint parfois de manière extatique (l’orgasme) – avant de connaître un lent processus de retour à la terre, au chaud, puis au froid, parfois en passant par différents états intermédiaires encore.

Le film « Un si long silence » diffusé mercredi 4 mai sur la RTS et consacré aux viols à répétition subis par l’ex-patineuse artistique Sarah Abitbol au cours de son adolescence par son entraîneur de l’époque, Gilles Beyer, dévoile une réalité extrêmement crue – une des faces les plus sombres du sport. Point de départ d’une réflexion que nous désirons initier sur le rôle des désirs, des envies, des pulsions, des rêves et plus globalement du cadre propice à l’éclosion des jeunes talents dans le sport – et au-delà.

Alors que les recommandations en matière de santé, d’un mode de vie sain et équilibré fleurissent (c’est la même rengaine chaque année : faites du sport, nourrissez-vous sainement, etc.), quantité de gens – et même une somme impressionnante de personnes – n’arrivent pas à appliquer ces simples préceptes.

Quand la juge Sim débarque dans le paisible Tribunal pour mineurs de Yeonhwa, en Corée du Sud, les […]

Celui qui a la santé peut aller où il veut, faire ce qu’il veut, comme il veut. C’est quand même vrai : du moment que notre corps et notre esprit fonctionnent de concert, tout est possible. Tout revêt un aspect nouveau, léger, subtil… Nous nous élevons au-dessus de notre état – et de l’état du monde.

Pour qui s’occupe un peu de promotion de la relève, comme PSUCHE le fait depuis maintenant quatre ans, une chose est on ne peut plus claire : plus on s’y intéresse, plus on passe de temps sur internet, à chercher des informations et essayer de comprendre ce qui se passe dans le domaine, moins on y comprend quelque chose !