Depuis que je suis jeune, je lis, incorpore et vis de façon très existentielle, intime, une philosophie bien particulière : la philosophie phusique. Une personne en particulier a contribué à me faire comprendre les ressorts de ce qu’il convient d’appeler vie et nature tout à la fois chez les anciens Grecs (phusis).

C’est bête à dire, mais dans la vie, nous avons besoin de chaleur humaine. Et cette dernière n’est pas toujours facile à trouver. Aussi est-il facile de critiquer les efforts que font les uns et les autres pour ce faire, mais plus difficile de donner soi-même ce qu’il faut pour cela.

Le film « Un si long silence » diffusé mercredi 4 mai sur la RTS et consacré aux viols à répétition subis par l’ex-patineuse artistique Sarah Abitbol au cours de son adolescence par son entraîneur de l’époque, Gilles Beyer, dévoile une réalité extrêmement crue – une des faces les plus sombres du sport. Point de départ d’une réflexion que nous désirons initier sur le rôle des désirs, des envies, des pulsions, des rêves et plus globalement du cadre propice à l’éclosion des jeunes talents dans le sport – et au-delà.

Depuis presque trois ans, il ne se passe plus un week-end sans que je me demande où est passé notre esprit de fête. C’est quand même vrai : avec la pandémie, nos belles motivations à nous déhancher sur des rythmes fous, en-dehors de toute contrainte – sinon celle de se faire plaisir – se sont réduites comme peau de chagrin…

Quand la juge Sim débarque dans le paisible Tribunal pour mineurs de Yeonhwa, en Corée du Sud, les […]

Que ce soit dans le monde professionnel, en privé, avec des amis, de la famille, le risque est grand de se retrouver victime d’une vaste entreprise de… formatage. Formatage des esprits et des corps, entreprise avec la complicité des industries qui nous gouvernent, de la big pharma à Facebook, Twitter et j’en passe.

@ France Inter

Les échos de la guerre en Ukraine résonnent chaque jour un peu plus dans nos consciences. Alors que le réchauffement climatique se profile comme la plus grande menace pour l’humanité dans les années à venir et que nous venons de traverser la pire crise sanitaire (et morale, sociale, politique, etc.) depuis longtemps. Mais que nous arrive-t-il ?

Je ne sais pas vous, mais moi, je passe un excellent été. Malgré la pression exercée sur les personnes non vaccinées, la fin annoncée de Federer et les crues d’eau…

Par où et quoi commencer quand l’enjeu décelé consiste à prêter attention et protéger, partant, l’une des choses les plus précieuses au monde, l’enfance ? L’enfance est bien ce joyau inattendu, ce trésor magique toujours disponible, qui doit être dépassé pour devenir vie d’adulte, régie par un sens et une direction. Une vie forte, qui s’enracine dans des valeurs fortes.


{update : Lire l’excellent article « Au nom du bien commun » de Jean-Pierre Tabin, Professeur à la Haute Ecole de Travail Social et de la Santé de Lausanne, sur les conséquences sociales et morales de l’écartement de toute position non officiellement reconnue comme « légitime » par les autorités}

Ce qui est pénible, ces temps, n’est pas tant de devoir nous conformer à quantité de règles parfois plus absurdes les unes que les autres ; mais que ces mêmes règles et mesures appauvrissent terriblement la vie.