Depuis que je suis jeune, je lis, incorpore et vis de façon très existentielle, intime, une philosophie bien particulière : la philosophie phusique. Une personne en particulier a contribué à me faire comprendre les ressorts de ce qu’il convient d’appeler vie et nature tout à la fois chez les anciens Grecs (phusis).

Nos efforts pour appréhender un monde en perpétuels changement, transformation et évolution peuvent sembler insuffisants. A peine croyons-nous […]

Dans une société tournée vers la réalisation des objectifs personnels – d’argent, de famille, de couple, etc. -, promouvoir des jeunes talentueux dans une discipline en particulier ne va pas de soi. Bien sûr, tout le monde vous dira que ce que font ces jeunes est magnifique, qu’il s’agit de s’en inspirer – pour autant qu’on y pense, ce qui ne va pas de soi. Mais de là à le faire vraiment…

Matisse, La joie de vivre (1905-1906)

Quelle autre attitude adopter, dans la vie, que de faire confiance en ce qui arrive ? Dans nos bonnes relations, dans la bonté du boulanger juste à côté, dans le fait que nos enfants iront bien à l’école, qu’ils apprendront comme il se doit, eux-mêmes avec confiance et volonté ?

C’est bête à dire, mais dans la vie, nous avons besoin de chaleur humaine. Et cette dernière n’est pas toujours facile à trouver. Aussi est-il facile de critiquer les efforts que font les uns et les autres pour ce faire, mais plus difficile de donner soi-même ce qu’il faut pour cela.

Depuis le début, PSUCHE s’est engagée à transmettre, sans compter, dans une direction bien précise – les jeunes artistes et sportifs d’élite – et plus largement en vue de favoriser l’enfance, la vie, la joie et plein d’autres choses encore. Non sans rencontrer quantité d’obstacles – et avoir dû surmonter un certain nombre de personnes peu… attentionnées.

… et bien plus encore. Nul besoin d’aller chercher à l’extérieur. Nous avons tout en nous, absolument tout. […]

Que le cirque est beau ! Sur PSUCHE, nous avons (re)découvert le cirque, ses envolées, sa folie il y a quelques années. Partage de quelques instants, impressions et sentiments sur l’un des arts les plus à l’écart, subtils, fous et doux possible.

Depuis tout petit, depuis la naissance, toute la vie n’est qu’un processus d’accélération progressive, puis de lente désaccélération. Tout n’est que croissance, maturation – jusqu’au sommet de l' »être », au paroxysme de l’existence, atteint parfois de manière extatique (l’orgasme) – avant de connaître un lent processus de retour à la terre, au chaud, puis au froid, parfois en passant par différents états intermédiaires encore.