Depuis que je suis jeune, je lis, incorpore et vis de façon très existentielle, intime, une philosophie bien particulière : la philosophie phusique. Une personne en particulier a contribué à me faire comprendre les ressorts de ce qu’il convient d’appeler vie et nature tout à la fois chez les anciens Grecs (phusis).
Catégorie : fête
Nos efforts pour appréhender un monde en perpétuels changement, transformation et évolution peuvent sembler insuffisants. A peine croyons-nous […]
Quelle autre attitude adopter, dans la vie, que de faire confiance en ce qui arrive ? Dans nos bonnes relations, dans la bonté du boulanger juste à côté, dans le fait que nos enfants iront bien à l’école, qu’ils apprendront comme il se doit, eux-mêmes avec confiance et volonté ?
C’est bête à dire, mais dans la vie, nous avons besoin de chaleur humaine. Et cette dernière n’est pas toujours facile à trouver. Aussi est-il facile de critiquer les efforts que font les uns et les autres pour ce faire, mais plus difficile de donner soi-même ce qu’il faut pour cela.
PSUCHE est allé hier soir écouter la célèbre soliste Hilary Hahn au Casino de Berne pour un concert avec l’orchestre philharmonique « Filarmonica joven de Colombia »pour près de deux heures consacrées à une pièce du (jeune) orchestre, le concerto pour violon et orchestre en mi mineur op. 64 de Mendelssohn et la symphonie n°5 en ré mineur op. 47 de Chostakovitch.
On pourrait croire que pour comprendre le monde, l’histoire, la politique, toutes les grandes choses qui régissent notre […]
… et bien plus encore. Nul besoin d’aller chercher à l’extérieur. Nous avons tout en nous, absolument tout. […]
Les Championnats d’Europe d’athlétisme ont eu lieu du 15 au 21 août dans le magnifique stade olympique de Munich, hôte des Jeux Olympiques de 1972. PSUCHE y a passé quelques jours aussi denses qu’intéressants, avec quantité d’enseignements tant quantitatifs que qualitatifs.
Que le cirque est beau ! Sur PSUCHE, nous avons (re)découvert le cirque, ses envolées, sa folie il y a quelques années. Partage de quelques instants, impressions et sentiments sur l’un des arts les plus à l’écart, subtils, fous et doux possible.
Depuis presque trois ans, il ne se passe plus un week-end sans que je me demande où est passé notre esprit de fête. C’est quand même vrai : avec la pandémie, nos belles motivations à nous déhancher sur des rythmes fous, en-dehors de toute contrainte – sinon celle de se faire plaisir – se sont réduites comme peau de chagrin…