Depuis que je suis jeune, je lis, incorpore et vis de façon très existentielle, intime, une philosophie bien particulière : la philosophie phusique. Une personne en particulier a contribué à me faire comprendre les ressorts de ce qu’il convient d’appeler vie et nature tout à la fois chez les anciens Grecs (phusis).

Depuis le début, PSUCHE s’est engagée à transmettre, sans compter, dans une direction bien précise – les jeunes artistes et sportifs d’élite – et plus largement en vue de favoriser l’enfance, la vie, la joie et plein d’autres choses encore. Non sans rencontrer quantité d’obstacles – et avoir dû surmonter un certain nombre de personnes peu… attentionnées.

… et bien plus encore. Nul besoin d’aller chercher à l’extérieur. Nous avons tout en nous, absolument tout. […]

Hier, j’étais dans le métro, je rentrais chez moi, quand j’entends une dame – le visage visiblement affecté – déclarer à son amie « Je trouve que les gens sont tristes… ».

Que le cirque est beau ! Sur PSUCHE, nous avons (re)découvert le cirque, ses envolées, sa folie il y a quelques années. Partage de quelques instants, impressions et sentiments sur l’un des arts les plus à l’écart, subtils, fous et doux possible.

Depuis tout petit, depuis la naissance, toute la vie n’est qu’un processus d’accélération progressive, puis de lente désaccélération. Tout n’est que croissance, maturation – jusqu’au sommet de l' »être », au paroxysme de l’existence, atteint parfois de manière extatique (l’orgasme) – avant de connaître un lent processus de retour à la terre, au chaud, puis au froid, parfois en passant par différents états intermédiaires encore.

Le film « Un si long silence » diffusé mercredi 4 mai sur la RTS et consacré aux viols à répétition subis par l’ex-patineuse artistique Sarah Abitbol au cours de son adolescence par son entraîneur de l’époque, Gilles Beyer, dévoile une réalité extrêmement crue – une des faces les plus sombres du sport. Point de départ d’une réflexion que nous désirons initier sur le rôle des désirs, des envies, des pulsions, des rêves et plus globalement du cadre propice à l’éclosion des jeunes talents dans le sport – et au-delà.

Depuis presque trois ans, il ne se passe plus un week-end sans que je me demande où est passé notre esprit de fête. C’est quand même vrai : avec la pandémie, nos belles motivations à nous déhancher sur des rythmes fous, en-dehors de toute contrainte – sinon celle de se faire plaisir – se sont réduites comme peau de chagrin…

Alors que les recommandations en matière de santé, d’un mode de vie sain et équilibré fleurissent (c’est la même rengaine chaque année : faites du sport, nourrissez-vous sainement, etc.), quantité de gens – et même une somme impressionnante de personnes – n’arrivent pas à appliquer ces simples préceptes.