
Quand on est habitué à la course à pied, il est toujours étonnant – voire effarant – de voir comment les gens, les coureurs du dimanche, pour le moins nombreux par chez nous, courent. Il y a ceux qui démarrent sur les chapeaux de roue : à coin, dès le début. Pour caler quelques centaines de mètres après… Et ceux qui, plus prudents, y vont tout doucement ; pour à vrai dire ne pas plus accélérer à la fin qu’au début.