
Je ne sais pas vous, mais moi, je passe un excellent été. Malgré la pression exercée sur les personnes non vaccinées, la fin annoncée de Federer et les crues d’eau…
Je ne sais pas vous, mais moi, je passe un excellent été. Malgré la pression exercée sur les personnes non vaccinées, la fin annoncée de Federer et les crues d’eau…
Avant de vouloir promouvoir son enfant dans le sport ou dans n’importe quel autre domaine, il convient de s’interroger honnêtement et pragmatiquement sur ses chances réelles de percer un jour au plus haut niveau. Quel parent n’a jamais été confronté un jour à cette délicate question ?
Beaucoup de gens se mettent à se poser des questions et penser à leur vie quand il est déjà trop tard. Alors que de très nombreux signaux nous indiquent seconde après seconde, minute après minute, jour après jour et année après année où nous en sommes dans nos vies, pour certains, la vie ne commence qu’après une secousse, un tremblement de terre, une éruption.
La prestation de la jeune poétesse (ou faut-il dire poète ?) Amanda Gorman, 22 ans, lors de la cérémonie d’investiture du nouveau président américain Joe Biden, n’est certainement pas passée inaperçue. Avec une diligence enfantine, sincère, émouvante, Gorman a, l’espace d’un instant, incarné les rêves, l’espoir, le souffle nécessaires à une Amérique brisée.
{update : Lire l’excellent article « Au nom du bien commun » de Jean-Pierre Tabin, Professeur à la Haute Ecole de Travail Social et de la Santé de Lausanne, sur les conséquences sociales et morales de l’écartement de toute position non officiellement reconnue comme « légitime » par les autorités}
Ce qui est pénible, ces temps, n’est pas tant de devoir nous conformer à quantité de règles parfois plus absurdes les unes que les autres ; mais que ces mêmes règles et mesures appauvrissent terriblement la vie.
Janis Joplin (1943-1970), morte d’une overdose d’héroïne dans un motel américain en 1970, est l’une des plus grandes stars du rock du vingtième siècle. Ses chansons bluesy et jazzy ont marqué des générations de chanteurs, mais aussi d’artistes plus généralement, depuis le début de sa carrière en 1966. Retour avec PSUCHE sur quelques-unes des meilleures séquences d’une des voix les plus riches du siècle dernier.
Alors que toutes nos forces sont actuellement dirigées vers la lutte contre la pandémie – au nom de la santé et contre une forme de valorisation de la vie comme jeu tragique entre vie et mort, santé et maladie, joie et peine -, PSUCHE a expérimenté ces derniers mois la difficulté de proposer un travail qui fasse contre-poids à cette expérience.
Notre premier article de présentation présentait (il y a bientôt deux ans) notre idéal de vie et de travail : comprendre la vie comme psuchè, autrement dit « souffle », « vie » ou « âme », comme on l’a traduit habituellement en français.
Le Prix de Lausanne est l’événement le plus important pour les jeunes danseurs du monde entier. La 48e édition s’est tenue du 2 au 9 février à l’Auditorium Stravinsky, à Montreux. PSUCHE y était, en catimini – dans les coulisses, à se hisser sur la pointe des pieds non pour danser, mais apercevoir les danseurs – et prendre part, elle aussi, à l’événement…
Nb : Article publié originairement en juillet 2018.
PSUCHE s’est rendue à Verscio en ce week-end du 14 et 15 juillet 2018. Un week-end pour explorer les contours d’un art méconnu, le théâtre de mouvement.