
Dans l’attente du retour de Federer – peut-être le meilleur joueur de tous les temps – sur les courts de tennis, PSUCHE s’intéresse au jeu, celui qui permet de grandir et de s’épanouir.
Dans l’attente du retour de Federer – peut-être le meilleur joueur de tous les temps – sur les courts de tennis, PSUCHE s’intéresse au jeu, celui qui permet de grandir et de s’épanouir.
Je ne sais pas vous, mais moi, je passe un excellent été. Malgré la pression exercée sur les personnes non vaccinées, la fin annoncée de Federer et les crues d’eau…
Par où et quoi commencer quand l’enjeu décelé consiste à prêter attention et protéger, partant, l’une des choses les plus précieuses au monde, l’enfance ? L’enfance est bien ce joyau inattendu, ce trésor magique toujours disponible, qui doit être dépassé pour devenir vie d’adulte, régie par un sens et une direction. Une vie forte, qui s’enracine dans des valeurs fortes.
Pour une fois, c’est marrant, je n’ai pas en tête le titre de mon article avant de l’écrire. Je veux parler de l’amour, des gens qui font des enfants, de la vie comme elle va et vient… fait et défait les gens, les choses, les processus. De la souffrance, de la joie, du Covid et de plein d’autres choses encore.
L’histoire de PSUCHE.ch remonte au printemps 2018, dans la vallée de Goms (Haut-Valais). Alors parti faire du ski de fond à Obergesteln, je me rends compte de l’extraordinaire beauté de l’endroit, empreint d’une sérénité majestueuse. Au point de me dire « et si on créait une fondation pour les jeunes artistes et sportifs de talent ici ? » !
Janis Joplin (1943-1970), morte d’une overdose d’héroïne dans un motel américain en 1970, est l’une des plus grandes stars du rock du vingtième siècle. Ses chansons bluesy et jazzy ont marqué des générations de chanteurs, mais aussi d’artistes plus généralement, depuis le début de sa carrière en 1966. Retour avec PSUCHE sur quelques-unes des meilleures séquences d’une des voix les plus riches du siècle dernier.
Alors que toutes nos forces sont actuellement dirigées vers la lutte contre la pandémie – au nom de la santé et contre une forme de valorisation de la vie comme jeu tragique entre vie et mort, santé et maladie, joie et peine -, PSUCHE a expérimenté ces derniers mois la difficulté de proposer un travail qui fasse contre-poids à cette expérience.
Notre premier article de présentation présentait (il y a bientôt deux ans) notre idéal de vie et de travail : comprendre la vie comme psuchè, autrement dit « souffle », « vie » ou « âme », comme on l’a traduit habituellement en français.
Alors que toutes nos autorités n’ont qu’un mot à la bouche – « Restez à la maison » -, PSUCHE s’engage de toutes ses forces à proposer un mot d’ordre alternatif (et non pas contraire) : dans l’optique d’une complémentarité et d’un rééquilibrage des forces.