La route qui mène aux sommets d’une carrière professionnelle est souvent sinueuse et parsemée d’obstacles. Pour les jeunes […]
Catégorie : valeurs
Je ne sais pas vous, mais moi, je passe un excellent été. Malgré la pression exercée sur les personnes non vaccinées, la fin annoncée de Federer et les crues d’eau…
Avant de vouloir promouvoir son enfant dans le sport ou dans n’importe quel autre domaine, il convient de s’interroger honnêtement et pragmatiquement sur ses chances réelles de percer un jour au plus haut niveau. Quel parent n’a jamais été confronté un jour à cette délicate question ?
Par où et quoi commencer quand l’enjeu décelé consiste à prêter attention et protéger, partant, l’une des choses les plus précieuses au monde, l’enfance ? L’enfance est bien ce joyau inattendu, ce trésor magique toujours disponible, qui doit être dépassé pour devenir vie d’adulte, régie par un sens et une direction. Une vie forte, qui s’enracine dans des valeurs fortes.
Pour une fois, c’est marrant, je n’ai pas en tête le titre de mon article avant de l’écrire. Je veux parler de l’amour, des gens qui font des enfants, de la vie comme elle va et vient… fait et défait les gens, les choses, les processus. De la souffrance, de la joie, du Covid et de plein d’autres choses encore.
La télévision norvégienne NRK a diffusé ces dernières années les épisodes tournés au sein du clan Ingebrigtsen entre 2013 et 2019. Ingebrigtsen ? Vous n’avez jamais entendu ce nom ?
{update : Lire l’excellent article « Au nom du bien commun » de Jean-Pierre Tabin, Professeur à la Haute Ecole de Travail Social et de la Santé de Lausanne, sur les conséquences sociales et morales de l’écartement de toute position non officiellement reconnue comme « légitime » par les autorités}
Ce qui est pénible, ces temps, n’est pas tant de devoir nous conformer à quantité de règles parfois plus absurdes les unes que les autres ; mais que ces mêmes règles et mesures appauvrissent terriblement la vie.
Clap de fin pour la démocratie « made in USA ». Donald Trump, l’inamovible clown de la Maison-Blanche, fait le show pour la dernière fois. Pitoyable et ridicule, ses prestations le rendent transparent : plus il en fait, plus il découvre sa propre nullité.
Alors que toutes nos autorités n’ont qu’un mot à la bouche – « Restez à la maison » -, PSUCHE s’engage de toutes ses forces à proposer un mot d’ordre alternatif (et non pas contraire) : dans l’optique d’une complémentarité et d’un rééquilibrage des forces.
Notre article précédent partait de la situation – inédite – que nous vivons tous en ce moment pour s’interroger sur la portée de cette dernière quant à nos vies, façonnées par l’esthétique enfantine venue du fond des âges (« Αἰὼν παῖς ἐστι παίζων πεσσεύων· παιδὸς ἡ βασιληίη » : « La vie est un enfant qui joue au tric-trac : c’est à un enfant que revient la royauté » (Héraclite, Fragment 52)). Situation qui n’a malheureusement guère évolué en un mois, marqués que nous sommes par une épidémie collective de bêtise vis-à-vis du monde qui nous entoure.