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Je ne sais pas vous, mais moi, je passe un excellent été. Malgré la pression exercée sur les personnes non vaccinées, la fin annoncée de Federer et les crues d’eau…

Avant de vouloir promouvoir son enfant dans le sport ou dans n’importe quel autre domaine, il convient de s’interroger honnêtement et pragmatiquement sur ses chances réelles de percer un jour au plus haut niveau. Quel parent n’a jamais été confronté un jour à cette délicate question ?

Beaucoup de gens se mettent à se poser des questions et penser à leur vie quand il est déjà trop tard. Alors que de très nombreux signaux nous indiquent seconde après seconde, minute après minute, jour après jour et année après année où nous en sommes dans nos vies, pour certains, la vie ne commence qu’après une secousse, un tremblement de terre, une éruption.

Par où et quoi commencer quand l’enjeu décelé consiste à prêter attention et protéger, partant, l’une des choses les plus précieuses au monde, l’enfance ? L’enfance est bien ce joyau inattendu, ce trésor magique toujours disponible, qui doit être dépassé pour devenir vie d’adulte, régie par un sens et une direction. Une vie forte, qui s’enracine dans des valeurs fortes.

Pour une fois, c’est marrant, je n’ai pas en tête le titre de mon article avant de l’écrire. Je veux parler de l’amour, des gens qui font des enfants, de la vie comme elle va et vient… fait et défait les gens, les choses, les processus. De la souffrance, de la joie, du Covid et de plein d’autres choses encore.


{update : Lire l’excellent article « Au nom du bien commun » de Jean-Pierre Tabin, Professeur à la Haute Ecole de Travail Social et de la Santé de Lausanne, sur les conséquences sociales et morales de l’écartement de toute position non officiellement reconnue comme « légitime » par les autorités}

Ce qui est pénible, ces temps, n’est pas tant de devoir nous conformer à quantité de règles parfois plus absurdes les unes que les autres ; mais que ces mêmes règles et mesures appauvrissent terriblement la vie.