Le film « Un si long silence » diffusé mercredi 4 mai sur la RTS et consacré aux viols à répétition subis par l’ex-patineuse artistique Sarah Abitbol au cours de son adolescence par son entraîneur de l’époque, Gilles Beyer, dévoile une réalité extrêmement crue – une des faces les plus sombres du sport. Point de départ d’une réflexion que nous désirons initier sur le rôle des désirs, des envies, des pulsions, des rêves et plus globalement du cadre propice à l’éclosion des jeunes talents dans le sport – et au-delà.

Depuis presque trois ans, il ne se passe plus un week-end sans que je me demande où est passé notre esprit de fête. C’est quand même vrai : avec la pandémie, nos belles motivations à nous déhancher sur des rythmes fous, en-dehors de toute contrainte – sinon celle de se faire plaisir – se sont réduites comme peau de chagrin…

Alors que les recommandations en matière de santé, d’un mode de vie sain et équilibré fleurissent (c’est la même rengaine chaque année : faites du sport, nourrissez-vous sainement, etc.), quantité de gens – et même une somme impressionnante de personnes – n’arrivent pas à appliquer ces simples préceptes.

Que ce soit dans le monde professionnel, en privé, avec des amis, de la famille, le risque est grand de se retrouver victime d’une vaste entreprise de… formatage. Formatage des esprits et des corps, entreprise avec la complicité des industries qui nous gouvernent, de la big pharma à Facebook, Twitter et j’en passe.

Celui qui a la santé peut aller où il veut, faire ce qu’il veut, comme il veut. C’est quand même vrai : du moment que notre corps et notre esprit fonctionnent de concert, tout est possible. Tout revêt un aspect nouveau, léger, subtil… Nous nous élevons au-dessus de notre état – et de l’état du monde.

Deux ans interminables durant lesquels nous avons été enfermés comme jamais. Et maintenant la guerre en Ukraine. Ambiance lourde, terrible… à maints égards, qui ne contribue pas à rendre notre monde plus harmonieux, plus doux et plus tolérant. Et pourtant…

@Grasshopper Club

Viele Leute haben gar keine Ahnung, was man unter « Nachwuchsförderung » versteht. Viele Leute an die ich in den letzten Jahren gesprochen habe hatten einfach keine Ahnung. Warum? PSUCHE versucht dieses Phänomen zu erläutern.

Les Championnats suisses élite d’athlétisme en salle se sont tenus ce week-end à Macolin, une semaine après les Championnats suisses jeunesse. Retour en images et impressions sur deux SUPERS journées d’athlétisme à un excellent niveau dans la salle de la Fin-du-Monde.

Magnifique prestation de Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron à Pékin. (LFM.ch/© KEYSTONE/AP/Natacha Pisarenko)

Les patineurs français Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, 26 et 27 ans, ont remporté lundi 14 février leur premier titre olympique en patinage sur glace aux Jeux Olympiques de Pékin. Une performance magistrale, qui n’a pas laissé PSUCHE de glace.